Auteure, conférencière,
numérologue, analyste de rêve, coach, animatrice et peintre...
Catherine Jalbert
s’intéresse depuis toujours à l’évolution de l’être humain, à
sa quête spirituelle et à ses questionnements métaphysiques.
L’univers des symboles est son champ d’action. Qu’on les retrouve
en peinture, dans les rêves ou dans les nombres, les symboles
constituent une source intarissable de pistes à suivre pour une
meilleur connaissance de soi. Trois pistes qu’elle a emprunté avec
enthousiasme et intérêt et qu’elle continue à suivre sans relâche.
Ces intérêts lui ont permis de développer des services de consultations,
des conférences, des ateliers et des voyages initiatiques qu’elle offre
depuis déjà 30 ans à la population du Québec
.
Des consultations en analyse de rêve
, en numérologie et en coaching par le biais d’Internet et
Skype se sont depuis peu ajoutés à la gamme de ses
activités professionnelles.
Ces mêmes intérêts
lui ont aussi fait emprunter le canal de l’écriture. Elle a deux
livres à son actif “Ouvrir sa conscience (1993-2009) et “Avez-vous le goût
de vivre?” (2001-2010) publiés par les Éditions Québécor et vendus dans toute la
francophonie. Ces livres comptent parmi les “bestsellers” de la
collection “Spiritualité” de sa maison d’édition.
Elle écrit régulièrement des chroniques dans le Cyberjournal Alchymed...
et on peut parfois la lire dans
certains magazines, tel: Vivre, Le Spirituel, Psychologie...
Des études en Art
Dramatique (Conservatoire de Québec), en Peinture Gestuelle (Atelier du
Geste de Montréal) et en
Analyse de rêve (Approche Jungienne - France) furent ses pistes de décollage.
Surtout
connue en tant qu'animatrice, auteure, analyste de rêve et conférencière
Catherine Jalbert laisse libre cours à son imagination et à son
inspiration pour permettre à ses talents de peintre de s'épanouir et
ce depuis 1988.
C'est à partir d'une simple plume et d'une bouteille d'encre de chine,
offertes par ses enfants, que le talent de Catherine Jalbert a refait
surface. Dans sa prime jeunesse, celle-ci avait fréquenté de près le
pinceau et la gouache lors de cours offerts par l'école des Beaux-Arts
de Québec... Mais l'on peut dire que la découverte et l'apprivoisement
de son langage pictural s'est considérablement développé en fréquentant
les cours de l'Atelier du Geste de Montréal où l'on enseignait
l'approche du Frère Jérôme. Une approche reconnue sous l'appellation
de "peinture gestuelle"... certains parleraient
"d'automatisme". Cette rencontre avec la peinture gestuelle
fut une révélation, puis une passion, puis devint sa forme de création
artistique, en même temps qu'un mode de transmission de cette forme.
Médaillée d'Or et de Bronze en dessins, aux Concours Nationaux en Art
Visuel des années 1990 et 1991...Catherine Jalbert a participé à une
douzaine d'expositions pluridisciplinaires au Québec, au Canada, aux
Etats-Unis et en Europe. Membre du Groupe Alizarin, elle s'est déjà
démarquée par les ateliers de "peinture gestuelle" qu'elle
dispense particulièrement dans le bas du fleuve et par sa participation
aux éditions 2001 et 2002 d'Artistes en Fête de Ste-Flavie. C'est avec
plaisir qu'elle vous présente quelques oeuvres produites entre les années
1998 et 2002. Oeuvres abstraites ou s'expriment pourtant toute la gamme
d'émotions, de pensées, d'imagination, d'inspiration, de créativité
et d'intution qui font de Catherine Jalbert ce qu'elle est et de ses
oeuvres ce qu'elles sont.
Puissiez-vous les apprécier avec autant de plaisir que j'en ai eu à
les réaliser!
Dossier
de presse
Victime
d’un cancer du système lymphatique
CATHERINE JALBERT A
DÛ CHANGER DE VIE
Atteinte
d’une forme de cancer incurable, Catherine Jalbert a effectué des
changements majeurs dans son mode de vie. Elle a dû quitter la pollution
de la ville pour s’installer à Rimouski, sur le bord du fleuve. Elle
consomme des aliments biologiques et mène une vie saine. Son expérience
de trois ans avec la maladie, elle la partage dans son livre Avez-vous
le goût de vivre? paru dans la collection Nouvel Âge
des Éditions Québécor. Déjà auteure d’ Ouvrir sa conscience
(publié en 1993), elle s’intéresse beaucoup à l’interprétation
des rêves et a longtemps donné des ateliers sur le sujet. Comme l’écriture
et les rêves, la numérologie fait aussi partie de ses intérêts, sans
oublier la peinture qui est devenue une vraie passion. « Il faut
trouver permettre à l’artiste en soi de s’exprimer. Je serais morte
si je ne l’avais fait, ajoute-t-elle, et c’est en partie grâce à ça
que j’ai réussi à m’en sortir. »
La jaquette de son livre est d’ailleurs illustrée avec une de ses œuvres,
un symbole de sa renaissance. Ce second livre, il y avait longtemps
qu’on le lui réclamait. On voulait un livre sur les rêves et
indirectement c’est un peu ça, dit-elle. Devant une nouvelle semblable,
on a le choix : vivre ou mourir! Alors je me suis dit : « Catherine,
si tu veux t’en sortir, il faut que tu aies le goût de vivre. Il
faut passer du choc à la compréhension, pour arriver à la guérison.
Dans mon introspection, l’interprétation des rêves m’a donc été
d’un grand secours. »
Aujourd’hui Catherine dit oui à la vie, après une période de doute,
Catherine se sent libre de vivre à son rythme et de réaliser ses rêves.
« La joie intérieure est mon baromètre précise-t-elle, c’est le
but de l’action qui prime. Si on fait trop de choses à la fois, on
oublie son bien-être et par le fait même, on néglige sa santé. »
Ses trois enfants sont des adultes : Simon 24 ans, Sylvie 30 ans et
Geneviev 31 ans et mère de trois enfants. Je suis mamie de Xavier,
Pascale et Benjamin. Ce qui me met dans le plus profond des ravissements.
Catherine Jalbert avoue qu’elle a vécu comme un rejet la fin de l’émission
l’Ère du Verseau. C’était en 1996, à l’époque de l’affaire de
l’Ordre du Temple Solaire et il y avait crainte de tout ce qui était
spiritualité. J’ai été victime de cette psychose.
Son projet le plus concret pour l’instant : écrire un troisième
livre à Paris. Par ailleurs la comédienne sommeille toujours en elle :
Si on m’offrait quelque chose, j’y songerais, car j’aimerais jouer
à nouveau.
Elle participe à des performances en direct par la peinture gestuelle.
Parler, écrire et peindre sont pour
Catherine Jalbert trois moyens privilégiés de se connaître et de
communiquer.
ÉCHOS
VEDETTES, juin 2001, L.Jalbert
CATHERINE JALBERT A LE GOÛT DE
VIVRE
Avez-vous
le goût de vivre? C’est la question que pose Catherine Jalbert dans ce
livre qui vient de paraître aux Éditions Québécor.
En
ce qui la concerne, elle a assurément le goût de vivre à présent. Et
pourtant…
Elle
a eu un cancer et ce sont toutes les trois dernières années de sa
maladie qu’elle raconte, son cheminement intérieur, l’évolution de
sa maladie…
Elle est devant moi avec ses cheveux courts, blonds, son sourire et aussi
une certaine joie de vivre. Elle est donc atteinte d’un cancer du système
lymphatique. Et elle me dit qu’elle est en rémission parce que son
cancer est incurable. « Il en reste toujours des traces dans le système,
c’est à moi de gérer ça. Éviter la pollution, le stress, manger
autant que possible de la nourriture biologique. »
La
pollution : c’est difficile de l’éviter. Eh bien, elle a déménagé
à Rimouski.
« Quand j’ai demandé au médecin ce qu’il fallait faire pour guérir,
il m’a dit : quitter la pollution. Rimouski est une ville
stimulante; je demeure sur le bord du fleuve. Je n’ai jamais regretté
cette décision : je dirais que c’est un paradis. »
Six heures de route ne lui font pas peur lorsqu’elle doit venir à Montréal.
« Donc, je ne me sens pas isolée. »
Lorsqu’elle a appris la nouvelle de sa maladie, elle a eu un choc.
« Au début, je ne réalisais pas, Je ne souffrais pas, mais j’étais
toujours fatiguée. En 1996, j’ai eu des années dures avec plein de
problèmes. À un point que j’avais presque des idées suicidaires. Je
me demandais : comment je fais pour arrêter tout ça?
Financièrement, elle s’en sort. « J’ai eu une formidable
intuition, il y a plusieurs années. J’avais décidé de me faire des
fonds pour prendre une année sabbatique à 50 ans. À 50 ans, j’ai
appris que j’avais le cancer et l’argent est toujours là. Ce qui fait
que ça m’a permis de revenir au travail, lentement mais sûrement. »
Elle se rend compte aussi qu’elle peut très bien être éternellement
en demi-retraite. « J’écris toujours; je peins continuellement
(elle est l’auteur de la couverture du livre). J’ai étudié
l’analyse des rêves; j’ai toujours fait cela parallèlement à la télé.
Outre le projet d’écrire un troisième livre, Catherine Jalbert vient
à Montréal toutes les 5 à 6 semaines pour l’Union des Artistes et le
reste du temps se déroule en
peinture, consultations, conférences et ateliers.
« Mais l’affaire qui me semble important par les temps qui
courent, c’est de voir à quel point notre planète est en perdition. On
la mène durement et je crie Au secours! pour elle. Elle ajoute
qu’elle n’est pas désespérée. « Je me suis donné comme
objectif de vivre ma deuxième vie dans la plus grande conscience. »
LE
JOURNAL DE MONTRÉAL, juin 2001, C. Montessuit
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